Ma peau ne tolère pas certains acides hyaluroniques – phénomène rare mais possible !
Témoignage de Rachel Polla, CEO Forever Institut
Ayant une peur bleue des piqûres (étonnamment pas pour le Botox), je n’ai jamais imaginé que j’accepterais de me faire injecter de l’acide hyaluronique.
Et pourtant, un an environ avant l’ouverture de Forever à Lausanne, et alors qu’on cherchait un acide hyaluronique « parfait » qui nous permettrait de proposer un traitement de lèvres très naturel, les médecins m’ont supplié d’être leur premier modèle… J’ai déjà des lèvres pulpeuses naturellement alors j’y suis allé un peu à reculons, mais j’ai craqué pour aider mon équipe ! Quelques semaines plus tard, quelle ne fut pas ma surprise de subir une réaction inflammatoire de type allergique : mes lèvres gonflaient de manière asymétrique, réaction aussi soudaine qu’éphémère.
Quatre ans plus tard, alors que j’approche des 40 ans et que cet épisode n’est plus qu’un lointain souvenir, j’ai souhaité tenter une injection d’acide hyaluronique dans mes pommettes, trouvant que celles-ci commencent à perdre en volume. L’injection s’est très bien déroulée, d’autant que j’ai été hypnotisée par l’un de nos médecins. Et pourtant, voilà que quelques semaines plus tard, je me retrouve à nouveau avec le même genre de réaction. Dès que je suis malade ou que j’ai un gros coup de fatigue, je sens une inflammation un peu douloureuse (cette fois ci elle est légère, heureusement) au niveau de l’une ou l’autre de mes pommettes ; la sensation ne dure jamais longtemps, fort heureusement.
Curieuse de comprendre ce qui m’arrive, je suis allé m’enquérir auprès de notre Directrice médicale et de mon père, le Dr. Luigi L. Polla. Selon eux, je suis un des rares cas qui supporte mal l’acide hyaluronique – qui pourtant est un produit résorbable et déjà présent de manière naturelle dans notre peau.
Voici ce qu’ils préconisent pour les personnes comme moi, qui souhaitent malgré tout avancer dans l’âge avec grâce et préserver leur capital beauté :
- Les injections de Profhilo, un acide hyaluronique qui ne contient pas la molécule liante BDDE qui peut causer une intolérance sur certaines personnes. Je l’avais d’ailleurs essayé avant de me lancer dans les injections de fillers, et c’est un traitement que je continuerai à m’offrir, une fois par année.
- Faire régulièrement des peelings éclaircissants (TCA) et des séances de réjuvénation au laser Picosure Focus (Laser Picosure) pour corriger les taches brunes et préserver une belle qualité de peau.
- Et puis un jour, lorsque je constaterai que mes joues et mes tempes commencent à se creuser et mes traits à se tirer, je sais déjà que je passerai aux Microfat pour restaurer les jolis volumes de mon visage… L’avantage absolu ? Avec la médecine auto-régénérative : aucun risque d’intolérance puisque la substance injectée provient de nos propres cellules.